Friday, November 25, 2016

Muse dominante


C’est une muse dominante ,
C’est avec elle que je chante.
C’est une fille basanée,
A la peau blonde un peu bronzée.

C’est une sirène qui fait rêver,
Entre mes bras elle sait vibrer.
Pour provoquer un frisson lent
Qui vous enivre doucement.

Son charme fou, sa peau si douce,
Apaisent l’âme c‘est une source,
De rêves, d’amour et de désirs,
Une fontaine de plaisirs.

C’est une fille dont les formes
Sont celles d’une belle femme
Avec elle, je monte mes gammes
Guitare, en fait, elle se nomme.

Cette muse a un don certain
Sans doute meilleur que le mien.



L'artisan



Si je vous parlais de moi, je le ferais avec des gants.
Mon âge, vous ne le sauriez pas, car suis de la tribu sans dents.

Mes ascendants étaient bretons. Artiste non, non pas vraiment,
Je n’en ai pas la prétention. Artisan oui, certainement,

Du verbe, des mots avec passion, de la plume et de ses accents,
Qui en poèmes, qui en chansons, vous parlent de mes sentiments,
De mes envies de mes chagrins, des émotions que je ressens,
Amoureux des petits matins, des soirs aux ciels flamboyants.

De la palette qui me tente, avec bonheur assurément.
De ce pinceau qui alors chante la poésie sur fond blanc.
Elle en révèle au fil du temps, sur toile de lin à touches infimes,
L’âme qui va grandissant, en nuances souvent intimes. 

De ma guitare, ma douce amie, elle ne me quitte jamais longtemps,
Ses notes claires en mélodies, apaise mon âme de longs moments.
Elle parle aux dieux en trémolos, quand ses arpèges, ses accents,
Vibrent en rythme au bon tempo. Un vrai bonheur ces instants.

De ma toute première passion et non des moindres assurément,
Mon amour pour la femme en blond que je chante en humble artisan.
Le reste, sans elle, ne serait alors qu'un pieux mirage inexistant.
            Une muse mérite compliment...

Mes anges



Dans la grande forêt de l’oubli, repense à ce que tu as été,
Au présent, dans lequel tu vis, ce milieu où se figent les pensées,
Au futur, que réserve ta vie,  où s’enfuit ton passé,
Tes chagrins, tes envies,  tes regrets, tes secrets.

Dans la grande forêt de la vie, là où naissent les  amitiés,
Là où tes amours lentement ont muri, mille souvenirs au creux du temps tissés,
Ne seront ni usés, ni meurtris, en terres  abandonnées,  
Ne pourront se figer dans l’oubli, d’un cimetière déserté.
                                         
Dans cette forêt immense,  sache bien conserver
Une lumière, toujours aussi intense, une flamme sacrée
Qui  expliquent le sens de la route tracée.

Cette route de vie, ce temps à partager,
Ce chemin accompli, père de deux piliers,
Amours et amitiés.

Amours et amitiés



Dans la grande forêt de l’oubli, repense à ce que tu as été,
Au présent, dans lequel tu vis, ce milieu où se figent les pensées,
Au futur, que réserve ta vie,  où s’enfuit ton passé,
Tes chagrins, tes envies,  tes regrets, tes secrets.

Dans la grande forêt de la vie, là où naissent les  amitiés,
Là où tes amours lentement ont muri, mille souvenirs au creux du temps tissés,
Ne seront ni usés, ni meurtris, en terres  abandonnées,  
Ne pourront se figer dans l’oubli, d’un cimetière déserté.
                                         
Dans cette forêt immense,  sache bien conserver
Une lumière, toujours aussi intense, une flamme sacrée
Qui  expliquent le sens de la route tracée.

Cette route de vie, ce temps à partager,
Ce chemin accompli, père de deux piliers,
Amours et amitiés.