Une larme de lune
La lune est là figée en son premier quartier.
Légèrement voilée de nuages légers.
Vaporeuse sirène que j’admire taciturne,
En attendant que vienne le sommeil nocturne.
Une longue insomnie peuplée de songes étranges.
En fond de ciel l’ennui des heures où rien ne change
Au fil de la nuit alors soupire un ange,
Entre deux battements de l’horloge qui fuit.
Elle égrène lentement sa plainte au ralenti,
Son tempo lancinant au doux rythme infini.
Le temps n’est que silence, le ciel calme et tranquille,
Et la lune s’avance au dessus de la ville.
Le sommeil m’appelle, la lune alors pâlît
Je sens venir d’elle une larme de pluie
Et l’insomnie rebelle prend fin, à l’aube de la nuit.
Légèrement voilée de nuages légers.
Vaporeuse sirène que j’admire taciturne,
En attendant que vienne le sommeil nocturne.
Une longue insomnie peuplée de songes étranges.
En fond de ciel l’ennui des heures où rien ne change
Au fil de la nuit alors soupire un ange,
Entre deux battements de l’horloge qui fuit.
Elle égrène lentement sa plainte au ralenti,
Son tempo lancinant au doux rythme infini.
Le temps n’est que silence, le ciel calme et tranquille,
Et la lune s’avance au dessus de la ville.
Le sommeil m’appelle, la lune alors pâlît
Je sens venir d’elle une larme de pluie
Et l’insomnie rebelle prend fin, à l’aube de la nuit.
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