Le ciel pleurait sa neige en larmes providentielles.
Ses volutes en cortège éclaircissaient le ciel.
Sur la planète bleue, alors venue des cieux,
Une fleur naquit aux aurores de nuit.
Frêle roseau pliant au seuil du printemps,
Petit bouton de rose, en fin du mois ventôse,
Venue du paradis, bientôt l'un de ses fruits.
Belle et petite enfant, fille du firmament...
Un cri, non ! un chant aux oreilles de maman
Qui tout comme le ciel, qui pleurait de plus belle,
Subjuguée, sous le charme, ne retint plus ses larmes,
En perles d'émotion, inondant sa raison.
La sensation est forte, c'est la joie qui l'emporte.
Voir naître l'enfant qu'on a voulu vraiment
Est au cours d'une vie une joie infinie.
Qui n'a connu cela, ne connaît de la Joie
Que lueurs parfois, n'égalant celle là.
NB. Poème dédié à mes deux enfants dont je suis tellement fier.
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