Je vous disais tout mon hommage aux gens, aux régions visitées
Lors de mes brefs passages en leurs fiefs et comtés.
Je n'y parlais, c'est bien dommage, je le dis à regrets,
De ces fleuves et rivières qui coulent, sans faillir jamais,
Sans qui notre pays de France ne serait pas celui qu'il est,
Mais un corps sans vie, sans défense, privé de cette saine sève,
Cette eau source de toute vie.
De la Garonne au Rhin, de la Loire au Rhône,
De la Seine et leurs affluents, j'ai vu les sources, les frayères
Avant qu'elles ne coulent plus loin.
Descendant leurs cours, leurs rivières, admirant leurs berges, leurs bassins,
Chacun, chacune à sa manière m'ont semblé être du paradis un coin .
Les gorges, les vallées profondes formées au fil des ans
Dont le pays abondent, sont un ravissement .
Amis, comme coule en vos veines votre vie, vos humeurs, votre sang,
Nos fleuves telle notre belle Seine ses sœurs et leurs affluents
Sont les sources vitales aux pouvoirs certains
Leurs absences fatales pour nous, frêles humains.
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