Hommage à Georges
Cherchez celui que ces vers cachent,
Pour les gens d'ma génération,
Sera facile que je sache,
A moins que vous soyez couillons.
Il faut savoir que ses moustaches
Montraient sans doute pour de bon
Un caractère qui, je sache,
Confirmait sa réputation.
Gloire à toi Geo.. o... ooo... rge
Un timidité bonhomme
Dévoilait une facette qui
Pour certains semblait bougonne
Alors qu'il y'en a bien de pis.
L'homme n'était pas du tout fier,
Ni imbu, ni mal dégrossi,
Même si son vocabulaire
Déplaisait à l'académie.
Gloire à toi geo ooo rges
Sur l'air du Gorille
Il a su chanter les amours
Des croquants, des gueux, des gorilles
Mais sut aussi faire sa cour
A ceux dits de bonne famille.
Les mots choisis pour se faire
Ne doivent rien au pur hasard,
Se confier à Jupiter,
Pas au supplice d'Abélard.
Gloire à toi .....!
Tu sus si bien manier le verbe
Et t'exprimer avec pudeur
Le trait parfois un peu acerbe
Sur fond de toutes les couleurs.
Observant nos petites manies
Nos vertus, nos défauts, nos vices,
Parfois même nos avanies
Sans concession, sans avarice.
Gloire à toi ....!
La camarde torturait l'âme,
La faucheuse un jour eut raison
De ta magie, versons nos larmes
Orphelins fous de tes chansons.
Croyais-tu en Dieu ou non pas,
Là où tu es, enchante donc
Ceux qui partagent ton trépas
Et dis nous si ce Dieu est bon.
Pour les gens d'ma génération,
Sera facile que je sache,
A moins que vous soyez couillons.
Il faut savoir que ses moustaches
Montraient sans doute pour de bon
Un caractère qui, je sache,
Confirmait sa réputation.
Gloire à toi Geo.. o... ooo... rge
Un timidité bonhomme
Dévoilait une facette qui
Pour certains semblait bougonne
Alors qu'il y'en a bien de pis.
L'homme n'était pas du tout fier,
Ni imbu, ni mal dégrossi,
Même si son vocabulaire
Déplaisait à l'académie.
Gloire à toi geo ooo rges
Sur l'air du Gorille
Il a su chanter les amours
Des croquants, des gueux, des gorilles
Mais sut aussi faire sa cour
A ceux dits de bonne famille.
Les mots choisis pour se faire
Ne doivent rien au pur hasard,
Se confier à Jupiter,
Pas au supplice d'Abélard.
Gloire à toi .....!
Tu sus si bien manier le verbe
Et t'exprimer avec pudeur
Le trait parfois un peu acerbe
Sur fond de toutes les couleurs.
Observant nos petites manies
Nos vertus, nos défauts, nos vices,
Parfois même nos avanies
Sans concession, sans avarice.
Gloire à toi ....!
La camarde torturait l'âme,
La faucheuse un jour eut raison
De ta magie, versons nos larmes
Orphelins fous de tes chansons.
Croyais-tu en Dieu ou non pas,
Là où tu es, enchante donc
Ceux qui partagent ton trépas
Et dis nous si ce Dieu est bon.
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