Un rayon de lumière sur ma douce sirène.
Il est entré à l’aube volets à demi clos,
Discret comme un parfum venu d’où, on ne sait,
Quand la nuit se dérobe aux lueurs des falots,
Les brumes du matin quasi évaporées.
Tu somnoles tranquille en ton lit de satin,
Vaporeuse sirène aux formes à peine voilées,
Vision calme et sereine imprimée de beauté,
Mise en lumière subtile embaumée de parfum.
Un parfum, bien connu de mes sens fébriles,
Flotte comme porté par ce rayon lumière
Qui poétise ainsi ce moment de bonheur.
Le temps s’est arrêté, à cet instant fragile,
Je sens, tu ne t’éveilles pas, attendant pour se faire
Que désir et amour conjuguent nos deux cœurs.
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